
Ces plantes des peuples autochtones prospèrent même en période de sécheresse chez moi
Face aux défis grandissants des périodes sèches, certains végétaux issus des traditions autochtones d’Amérique latine montrent une étonnante vitalité. Ces plantes, enracinées dans des savoirs millénaires, possèdent des mécanismes naturels qui leur permettent de s’adapter à des conditions climatiques souvent extrêmes. Comprendre leur fonctionnement offre une piste précieuse aux jardiniers et agriculteurs modernes qui cherchent à conjuguer respect de la nature et efficacité durable. Adaptation remarquable des plantes autochtones face à la sécheresse Au cœur des racines anciennes des peuples autochtones d’Amérique, les essences naturelles comme le manioc ou le trio des sœurs (maïs, haricots, courges) façonnent un véritable modèle d’éco-plantes. Plantées sur des sols parfois pauvres ou acides, elles excellent grâce à un système de sève et sol particulièrement résistant. Le manioc, grâce à une symbiose avec des champignons mycorhiziens, optimise sa résistance à la sécheresse en absorbant mieux les nutriments.Le trio des sœurs, cultivé ensemble, crée un micro-écosystème où chaque plante soutient l’autre : le maïs sert de support aux haricots, les courges…